J'en ai marre des médias et des journalistes occidentaux qui n'ont que des mensonges au bout de leur plume afin de décharger leurs émotions (haineuses) sur leurs lecteurs et lectrices.
C'est à n'y rien comprendre.
Pourtant, on devrait être convaincu que «L'individu» évoqué par J. Edgard Hoover, en 1956, possédait une certaine intelligence qui aurait dû guider ses pas dans son présent.
Rien n'a changé. Au contraire.
Aujourd'hui, il est ahurissant et hallucinant de voir à quel point, avec tous les outils technologiques que nous connaissons, «L'individu» est toujours incapable de s'empêcher de tomber dans les pires pièges émotionnels que lui tendent encore et encore, les faiseurs du mal depuis des décennies grâce aux médias officiels à leurs bottes.
J'ai marre des médias et à leurs journalistes qui trahissent leur profession en traitant les nouvelles, les informations, etc, avec un tel cynisme.
En 1956, on pouvait comprendre mais aujourd'hui, il y a là un scandale difficile à comprendre. Tromper la population comme il est fait depuis l'élection du président élu, il y a maintenant un an et demi, n'a pas de sens si l' on se croit intelligent.
Car le professionnalisme chez les journalistes de certains médias d'aujourd'hui,
manque totalement d'éthique et d'honnêteté.
La goutte qui a dépassé le vase, ces derniers jours, montre à quel point des journalistes québécois qu'on croyait sérieux et honnêtes peuvent tomber bas,
quand l'émotion l'emporte sur la raison.
J'entends ici ceux ou celles qui n'ont pas pris la peine de chercher la vérité, donc à s'informer davantage sur la question des enfants de migrants illégaux, voire terroristes
qui auraient été retirés de leurs parents.
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Entre-temps, j'accuse
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Mon beau-frère, Charles, ex-marine américain retraité et ex-vétéran de la guerre du Vietnam.
Il est décédé en février dernier.
Et ma soeur Suzanne l'a rejoint il y a à peine quelques semaines.
Photo prise en 2003, lors de l'un de leurs anniversaires de mariage
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J'accuse les événements qui ont tué ma soeur Suzanne et son mari, Charles, qui vivaient honorablement depuis plusieurs années, aux États-Unis d'Amérique.
Avant le 11-Septembre 2001, ma soeur et mon beau-frère étaient de braves gens et des parents normaux. Ils étaient généreux, en santé, aimables, vaillants et fiers d'être ce qu'ils étaient parce qu'ils avaient choisi de devenir des Américains heureux de l'être.
Mais le Jour J a tout basculé sur son passage. D'abord, leur visage sont devenus aussi cendrés que l'étaient les débris des deux tours effondrées. Leurs tripes se sont crispées dans leur ventre.
Puis le Patriot Act a vite pris la relève des lois protégeant les deux premiers amendements de la Constitution. Le port d'armes s'est avéré une nécessité, voire une effroyable obsession. Comme un besoin impératif de se défendre contre un ennemi invisible. Quand la peur au ventre déchire les entrailles, et que les maladies, entre autre engendrées par la mauvaise nutrition et l'obésité morbide qui s'ensuit s'avère la norme, la vie prend une tout autre forme.
Le souffle de la mort s'est mis à rôder autour d'eux. Comme pour bien d'autres de leurs concitoyens américains et planétaires, insidieusement, il a pénétré l'organique de leur corps en prenant aussi possession de leur esprit. Il est regrettable de dire ça tout haut, mais beaucoup d'entre eux n'ont toujours pas compris qu'on en voulait à leur peau d'abord, et à leur vie ensuite.
On va me dire qu'ils n'avaient qu'à se servir de leur libre arbitre afin de bien gérer leur vie et leur famille, mais il est arrivé qu'un mal pernicieux s'est infiltré dans certaines couches de la société américaine. Un mal qui dépassait de loin et de haut le bien ambiant. Et cela dure depuis.
Or, j'accuse ces entités malfaisantes qui ont tué ma soeur, Suzanne et son mari, lui, quelques mois avant elle: de stress, de désespoir et de peur pour leur vie et celle de leurs enfants. Eux qui avaient compté jusque là sur leur gouvernement pour les défendre, se sont soudainement rendu compte que ce dernier s'était métamorphosé en ennemi.
Pendant ce temps, plusieurs enfants devenus insupportables, intolérables, bref sont devenus de pauvres êtres complètement déboussolés. À titre d'exemple, ma nièce, J...., et c'est à se demander si un pouvoir occulte ne s'était pas emparé de son cerveau, déserta le foyer familial pendant plusieurs jours (entraînée sans doute par de mauvaises gens), alors qu'elle n'avait que huit ans! Des policiers locaux l'a retrouvèrent, complètement gelée, après que son père l'eut cherchée durant des nuits.
À ce moment-là, on sait que les drogues faisaient de tels ravages chez de nombreux enfants et rendaient fous d'inquiétude leurs parents, que personne ne pouvait aider de quelque façon que ce soit afin de les extirper de cet enfer. Infernal!
Quant au fils de J...., quelques années plus tard quasiment devenu aussi dérangé que l'était sa mère, sinon pire, a dû être placé en centre de jeunesse et aussi en institution, cela après qu'il ait fait plusieurs crises.
J'ai eu ouï dire, à cette terrible époque, qu'il aurait jusqu'à tenter de tuer sa mère. Au fait, j'ignore où il en est rendu aujourd'hui, pauvre enfant! Je ne pense pas qu'il ait atteint plus de 16 ou 17 ans, mais, chose certaine, c'est que je sais qu'il est fou des armes à feu. Et rêvait par-dessus tout, dès l'âge de 10-12 ans, de s'enrôler dans l'armée … à l'instar de son père décédé quelques années auparavant.
J'accuse la cruauté avec laquelle des entités malfaisantes ont pris plaisir à transformer tant d'êtres humains, qu'ils ont démolis autant physiquement que mentalement, jusqu'à ramollir leur âme afin de mieux la pétrir selon leur volonté.
J'accuse tous ces monstres qui ont brisé des millions de vies américaines. Néanmoins, on sait aujourd'hui que leur plan consiste à produire un génocide planétaire à long terme.
J'accuse les monstres qui ont fait tout ce mal à des milliers de familles américaines, y compris la mienne. Un mal dont ils se sont servi (et se servent encore) pour tuer sans pitié ceux qui s'opposeraient à eux.
J'accuse ces monstres, qui pour survivre, utilisent l'air que nous respirons après avoir opéré une guerre globale chimique contre nous, la population mondiale: empoisonnements par l'air, les médicaments, et bien sûr l'alimentation, etc.
J'accuse ces monstres psychopathes qui ont violé, torturé, sacrifié et mangé des milliers d'enfants sur l'autel de leur satanée folie.
J'accuse ces faiseurs de mal à l'humanité toute entière, qui a répandu tant d'horreur et de terreur autour d'elle et qui refusent la guérison; parce que la dite guérison leur serait offerte.
M.W.
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Si vous êtes un être d'amour, ce qui signifie que vous pouvez résister aux attaques et ne pas céder, et rester debout, et aimer, et pardonner, et chercher en profondeur comment faire face à votre famille, amis, communauté, emplois, etc. sans tomber dans la pensée négative et se sentir, s'il vous plaît, restez en lisant afin que vous puissiez lever votre épée avec la vérité, mais pas dans le sang.
